Journal Breton – saison 2 (Epilogue)

Journal Breton – saison 2 (Epilogue)

Épisode 13 : Epilogue 1 : Les bouleversements de l’été

Après une immersion de trois ans en Bretagne intérieure dans la commune de Maël-Pestivien et alentours, le Journal breton arrive à son terme. Il revient sur les bouleversements de l’été.

Depuis trois ans, Inès Léraud tient son journal breton : une immersion en vingt épisodes dans la commune de Maël-Pestivien, au cœur des Côtes d’Armor. Avant-dernier épisode de la série, l’épilogue 1 revient sur la mobilisation des apiculteurs au printemps et l’arrivée de Julie dans le village, qui s’en est allée de la Drôme pour devenir vachère.

Jean-Daniel est apiculteur et a 70 ruches dispersées dans la campagne autour de Rostrenen. Mais situé à 500 mètres à peine de son élevage se trouve un champ de maïs traité aux néonicotinoïdes.

J’ai perdu les deux-tiers de mon cheptel. Jean-Daniel, apiculteur.

José, également apiculteur, a quant à lui perdu la moitié de ses ruches. Révolté par l’hécatombe ayant frappé la Bretagne cette année, il a décidé d’agir. Pour tirer la sonnette d’alarme, il a sillonné la région avec quelques uns de ses collègues pendant plusieurs jours, traînant à l’arrière d’une camionnette les ruches décimées cet hiver.

On estime qu’environ 20 000 colonies ont été décimées cet hiver en Bretagne. Et on ne compte même pas les abeilles sauvages !

Pendant cinq jours, un « convoi mortuaire » mené par des apiculteurs a sillonné la Bretagne. À l’arrière d’une camionnette étaient transportées des colonies d’abeilles décimées cet hiver.• Crédits : Alexandre-Reza Kokabi

Pendant cinq jours, un « convoi mortuaire » mené par des apiculteurs a sillonné la Bretagne. À l’arrière d’une camionnette étaient transportées des colonies d’abeilles décimées cet hiver.• Crédits : Alexandre-Reza Kokabi

Un autre mouvement profond concerne les arrivées de nouveaux habitants. Ils viennent de la France entière voire de toute l’Europe pour vivre en Bretagne intérieure, là où les logements sont parmi les moins chers de France.

C’est le cas de Julie qui a abandonné la Drôme et son métier de potière pour s’installer comme vachère à Maël-Pestivien. Elle y a été rejointe par Denis, son premier amour, qui s’est également installé en tant que vacher dans une ferme bio.

Là-bas, ils appellent toutes les vaches par leur prénom et leur font même écouter de la musique. Denis, vacher.

En Bretagne, les apiculteurs protestent contre l’usage de néonicotinoïdes.• Crédits : Alexandre-Reza Kokabi

Chanson de fin : « La couleur de l’Orage » de Charkha – Album : La couleur de l’Orage

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

Merci à Jean-Daniel Bourdonnay, José Nadan, Dominique Huon, Julie Charlin et Denis.


Épisode 14 : Epilogue 2 : Trois ans en Bretagne, une investigation sous pression

Dernier épisode du Journal breton, qui clôt une immersion de trois ans dans un village agricole centre-breton.

Depuis trois ans, Inès Léraud tient son journal breton : une immersion en vingt épisodes dans la commune de Maël-Pestivien, au cœur des Côtes d’Armor.

Dernier épisode de la série, l’épilogue 2 fait le point sur les obstacles rencontrés par Inès Léraud ces derniers mois : les intimidations reçues par certains témoins et la manière dont les services de communication des grandes entreprises agroalimentaires tentent de décrédibiliser ses enquêtes.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

Merci à Guillaume Robic, les employés de Triskalia, Morgan Large et Alice Sternberg.

Journal Breton – saison 2 (La fabrique du silence)

Journal Breton – saison 2 (La fabrique du silence)

épisode 5 : La fabrique du silence 1 : à l’abattoir

Durant quatre nouveaux  épisodes, Inès recueille des histoires de menaces, de pressions, et d’autocensures, qui perpétuent l’hégémonie de l’agro-industrie bretonne. Ça commence dans les abattoirs.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Cécile Laffon

épisode 6 : La fabrique du silence 1 : les citoyens

Dans cet épisode, Morgan Large, conseillère municipale de Glomel, Sébastien Le Cam, habitant de Glomel, et André Ollivro, militant associatif à Hillion, simples citoyens, racontent les pressions, menaces, et injonctions au silence qu’ils ont rencontrées lorsqu’ils ont voulu parler des pollutions produites par le système agroalimentaire breton.

Lien vers une émission de France Inter – Interception « Une histoire de grains pourris » (1ère partie d’une enquête sur Triskalia) diffusée le 22 février 2015

Lien vers une émission de France Culture – Sur les Docks « Collection Particulière : Paysans et salariés de l’agroalimentaire breton » (seconde partie de l’enquête sur Triskalia) diffusée le 26 février 2015

Chanson de fin : « Cover me over » par Slow Joe & the Ginger accident – album : « Sunny side up » (2011) – Label : Musique sauvage.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Clémence Gross

Épisode 7 : La fabrique du silence : le lycée agricole

Enquête sur les pressions exercées par les Jeunes Agriculteurs, syndicat proche de la FNSEA, sur la pédagogie d’un lycée agricole.

Chanson de fin : « Killing in the name » par La Maison Tellier – Album : « La Maison Tellier » (2006) – Label : Euro-visions.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Philippe Baudouin

Épisode 8 : La fabrique du silence : les agriculteurs sous la pression des industriels

« Ils ont sur nous un droit de vie ou de mort ». Un producteur de lait et un éleveur dénoncent les pratiques et les intimidations des industriels du secteur, dont Lactalis.

Dans cet épisode, des éleveurs racontent les terribles pressions qu’ils subissent de la part des groupes industriels pour lesquels ils travaillent, lorsqu’ils tentent de remettre en cause leurs conditions de travail.

Depuis maintenant plus de deux ans, Inès Léraud a emménagé dans le hameau de Coat-Maël au cœur de la première région agroalimentaire de France, la Bretagne.

Chanson de fin : « Sombaraï » par Mathias Duplessy – Album : « My Mongolia » (2012) – Label : Absilone Duplessy.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Philippe Baudouin

Épisode 9 : La fabrique du silence : les agriculteurs sous la pression de la FNSEA

« On aura les moyens de vous faire rentrer dans les rangs. » Trois agriculteurs racontent comment les coopératives et la FNSEA amènent les éleveurs à produire toujours plus et abandonnent ceux qui ne s’y résignent pas.

A travers l’histoire de sa vache Penn Gwenn, Christiane Pouliquen, ancienne productrice de lait, raconte comment son activité a cessé lorsque la coopérative pour laquelle elle travaillait n’a plus trouvé rentable de venir chercher le lait des petits éleveurs laitiers.

René Louail a critiqué l’utilisation d’OGM par sa coopérative. En réponse, de manière insidieuse et pour le mettre en défaut, celle-ci a effectué cinquante et un contrôles qualité en un an sur son exploitation, au lieu de quatre habituellement.

Marie raconte pourquoi, suite à la maladie de l’un de ses enfants, elle a décidé de quitter l’agriculture intensive et de se reconvertir à la biodynamie. Elle décrit les pressions et menaces qu’elle a alors subies de la part de la FNSEA et de ses voisins adhérents à ce syndicat.


Épisode 10 : La fabrique du silence : les agriculteurs sous la pression de l’administration

Dans ce nouvel épisode du journal Breton, Inès Léraud s’intéresse à l’informatisation à marche forcée des exploitations agricoles.

La révolution numérique touche déjà de plus en plus d’exploitations françaises, pour gérer, surveiller et mieux analyser la production et les rendements. C’est ce qu’on appelle désormais « l’agtech » ou l’« Agriculture 4.0 ».  D’ores et déjà, les agriculteurs qui le souhaitent peuvent installer des caméras pour surveiller leurs troupeaux, installer des GPS embarqués dans leurs tracteurs, numériser les données de leurs exploitations et suivre des bulletins météos calibrés et adaptés aux sols grâce à des capteurs. Les expérimentations sur les voitures autonomes devraient à terme permettre de fabriquer des machines intelligentes. L’histoire ne dit pas comment leurs données sont protégées ni avec qui elles sont partagées.

Numériser les animaux, c’est permettre le contrôle des éleveurs, pas des bêtes.

Les agriculteurs deviennent ainsi des consommateurs toujours plus accros aux technologies de pointe, qui récoltent leurs données et dressent des modèles prédictifs. Certains exploitants, pourtant, décident de résister à l’emprise grandissante du numérique. 

Laetitia Monthuley, éleveuse de volailles en plein air en Bretagne ; Pierre Mestre et Matthieu Amiech du collectif « Faut pas pucer » dans le Tarn, racontent les obligations d’informatiser leurs élevages auxquels ils sont soumis, et les raisons de leur désobéissance.

Nous remercions Laetita Monthuley, Pierre Mestre, et Matthieu Amiech, éditeur à La Lenteur, et membre du groupe M.A.R.C.U.S.E.


Épisode 11 : La fabrique du silence – La disparition

Rencontre avec un couple d’agriculteurs qui, face aux pressions des industriels et de l’Etat sur les petits éleveurs, a choisi de « disparaître » administrativement et de pratiquer son activité dans la clandestinité.

Selon des chiffres du ministère de l’Agriculture qui remontent à 2013, entre 250 et 260 exploitations agricoles disparaissent chaque semaine. En vingt ans, la France a vu leur nombre diminuer de moitié. Selon d’autres projections, en Bretagne, c’est une ferme sur cinq qui aura disparu d’ici 2025, essentiellement des exploitations individuelles au profit de regroupements spécialisés dans le porc notamment.

La disparition des agriculteurs, c’est aussi le taux alarmant des suicides dans la profession. En moyenne, tous les deux jours, un agriculteur met fin à ses jours dans notre pays. Les deux tiers ont entre 45 et 55 ans, une catégorie qui regroupe les paysans les plus endettés. La Bretagne et les Pays de la Loire comptent parmi les régions les plus touchées.

Enfin, il y a ceux qui choisissent la clandestinité, qui préparent leur disparition hors des radars de l’administration, avec les inconvénients et les risques que cela implique … 

Nos clients sont les complices de notre illégalité, tout le monde le sait et nous soutient.

Chanson de fin  : « Bella Ciao » par Pee Bee – Album : Dolce Vita (2017).

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Clémence Gross

Épisode 12 : La fabrique du silence : retour à Glomel

Suite au témoignage de la conseillère municipale d’opposition dans notre Journal breton 6, la subvention qu’attribuait la ville de Glomel à la radio locale RKB, a été supprimée. Enquête sur les raisons de cette suppression, qui met à jour les pressions insidieuses qui s’exerce sur les associations.

Suite au témoignage de la conseillère municipale d’opposition Morgan Large dans notre Journal breton 6 (saison 2) la subvention qu’attribuait la ville de Glomel à la radio locale RKB, a été supprimée. Enquête sur les raisons de cette suppression, qui met à jour les pressions insidieuses qui s’exercent sur les associations et sur la presse locales.

C’est un fonctionnement courant : si on est pas dans la ligne, si on plaît pas, on n’aura pas de subventions. Parce qu’il n’y pas de critères définis précisément pour leur attribution. Hervé le Gall, conseiller municipal à Glomel, dans l’opposition.


Sortie de « Sur la plage empoisonnée » dans le N°17 de la Revue Dessinée

Sortie de « Sur la plage empoisonnée » dans le N°17 de la Revue Dessinée

Sur la plage empoisonnée, la bande dessinée issue des reportages d’Inès « Algues vertes le déni » et dessinée par Pierre Van Hove a été publiée dans le numéro 17 de la revue dessinée.

Vous pouvez aussi en lire les 12 premières pages gratuitement sur Issuu ou acheter la revue complète au format numérique sur Izneo.

Couverture "Sur la plage empoisonnée"

Des échantillons qui disparaissent dans les laboratoires, des corps enterrés avant d’être autopsiés, des jeux d’influence, des intimidations et un silence de plomb. Ne cherchez pas plus loin les ingrédients d’un bon polar. L’intrigue a pour décor le littoral breton.

Cette année encore, les algues vertes l’ont envahi en masse. Fraîches, elles sont inoffensives mais en pourrissant, elles dégagent un gaz aussi toxique que du cyanure. Depuis 2009, un chauffeur et un joggeur ont perdu la vie dans des circonstances troubles. Ils ne sont pas les premiers. En enquêtant sur le silence qui entoure chacune des victimes, la journaliste Inès Léraud et le dessinateur Pierre Van Hove ont déroulé le fil et sont remontés à la racine. C’est là, dans la nébuleuse mêlant gros bonnets de l’agro-industrie, scientifiques à la déontologie suspecte et autres marchands de doute, que se nichent la pièce manquante du puzzle et l’origine d’une omerta.

Bonne lecture.

Dans la presse :

Journal Breton – saison 2 (Prologue)

Journal Breton – saison 2 (Prologue)

Depuis maintenant deux ans, Inès Léraud a emménagé dans le hameau de Coat-Maël au coeur de la première région agroalimentaire de France, la Bretagne. Elle reprend son journal breton pour une deuxième saison qu’elle ouvre avec un bilan des changements qui ont eu lieu depuis son arrivée à Maël-Pestivien.

épisode 1 : Que sont-ils devenus ?

Depuis maintenant deux ans, Inès Léraud a emménagé dans le hameau de Coat-Maël au coeur de la première région agroalimentaire de France, la Bretagne.

Elle reprend son journal pour une deuxième saison qu’elle ouvre avec un bilan des changements qui ont eu lieu depuis qu’elle est arrivée à Maël-Pestivien et alentours.

Chanson de fin : « Fountain of youth » par Local natives – Album : « Sunlit youth » (2016) – Label : Infectious.

  • Reportages : Inès Léraud
  • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

épisode 2 : Des nouvelles des voisins

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Jean-Christophe Francis

Emission « La petite lanterne » de Morgan Large sur Radio Kreiz Breizh


épisode 3 : La famille Jordan

Journal Breton Saison 2 épisode 3 : Les deux soeurs Jordan• Crédits : © Inès Léraud
Les deux soeurs Jordan• Crédits : © Inès Léraud

Pour le troisième épisode de cette deuxième saison, nous sommes dans le Morbihan. Dans le village agricole de Ploërdut, Inès rencontre les six membres de la famille Jordan qui a choisi de quitter le salariat, et vit avec quelques maigres subsides.

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

épisode 4 : Marilia

Marilia Petite a quitté son village centre-breton pour vivre dans une cabane en Sibérie orientale. Nous la rencontrons par deux fois, à un an d’écart, lors de retours dans la ferme familiale, à Trémargat.

Vers la page Wikipédia sur les Oudéguéïs
Vers la page Wikipédia de la région du Primorie

  • Reportage : Inès Léraud
  • Réalisation : Emmanuel Geoffroy

Journal Breton saison 1

Journal Breton

Journal Breton

Installée pour quelques mois dans un hameau en Centre-Bretagne, Inès découvre d’histoires en histoires, une Bretagne bien énigmatique…

https://www.franceculture.fr/emissions/les-pieds-sur-terre/journal-breton

épisode 1 : Coat-Maël

Dans les terres pauvres du Centre-Bretagne, portrait de Coat-Maël et de ses environs, à travers ses paysans, éleveurs de poules et de vaches

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Emmanuel Geoffroy
Chanson de fin : « An arlac’h » par Gilles Servat – Album : « la blanche hermine ».

 

épisode 2 : de Maël Pestivien à Trémargat

 Arbres bretons • Crédits : Dimitri Burdzelian - dr
Arbres bretons • Crédits : Dimitri Burdzelian – dr

A travers les maëlois et les trémargatois, portrait d’un village agricole de 200 habitants, célèbre en Centre-Bretagne pour son inventivité à repenser la vie collective et l’écologie, Trémargat.

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Peire Legras

 

épisode 3 : l’appel de la forêt

Crédits : Marilia Petite
Crédits : Marilia Petite

Marilia, bretonne, raconte sa vie de famille dans la forêt sibérienne. Marilia, inspirée par les indiens d’Amérique, a toujours voulu vivre en forêt. En 2009, elle quitte sa Bretagne natale pour s’installer dans la Taïga, avec un chasseur cueilleur d’une communauté nomade, qui deviendra le père de ses deux enfants. Elle raconte leur vie de famille dans la forêt sibérienne.

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Eric Lancien
Chanson de fin : « Nantes » par Beirut – Album : « The flying club cup ».

 

épisode 4 : la crise des éleveurs intensifs

Barrage agricole• Crédits : Tudy Crequer - Radio France
Barrage agricole• Crédits : Tudy Crequer – Radio France

Dans la région de Saint-Brieuc, au coeur des élevages intensifs de porcs et de vaches, rencontre avec des éleveurs, certains en faillite, d’autres ayant trouvé des solutions à la crise.

 

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Emmanuel Geoffroy
Chanson de fin : « Sad and slow » par Renaud Flusin – Album : « modern folk » – Editeur : Gum (Cezame music agency)

 

épisode 5 : dans les yeux des porcs

Pour le cinquième volet, dans la région de Saint-Brieuc, Inès rencontre deux éleveurs industriels dans leurs porcheries. Ils lui parlent de ces milliers de cochons avec lesquels ils vivent jour après jour.

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Eric Lancien
Chanson de fin : « Breathless » de Nick Cave  & the Bad Seeds – Album : Abattoir blues / The Lyre of Orpheus

 

épisode 6 : Des usines à viande

Un tag sur un des bâtiments de la Cooperl à Lamballe• Crédits : Johan Moison - Radio France
Un tag sur un des bâtiments de la Cooperl à Lamballe• Crédits : Johan Moison – Radio France

6ème volet : Des employés racontent leurs conditions de travail dans une usine à viande, et nous en apprennent sur ce que nous mangeons.

Reportage : Inès Léraud
Réalisation : Emmanuel Geoffroy
Chanson de fin : « Sunday Bloody Sunday » par Ignite – Album « Our Darkest Days » (2013).

 

épisodes 7 & 8 : algues vertes, le déni

  • Crédits : Ines Leraud. - Radio France

Partie 1/2 :

Un médecin urgentiste persuadé que les algues vertes ont tué à plusieurs reprises sur les plages bretonnes, et une victime, racontent les difficultés auxquelles ils ont dû faire face dans les Côtes d’Armor pour rompre le silence qui entoure ce phénomène écologique…

Partie 2/2 (à partir de 21 minutes) :

Retour sur « l’affaire Morfoisse », ce transporteur d’algues vertes retrouvé inanimé au pied de son camion en 2009, et dont la mort a été tue pendant plusieurs mois . Son histoire avait défrayé la chronique dans les Côtes d’Armor.

Reportage : Inès Léraud.
Réalisation : Eric Lancien.


Un article de Télérama qui en parle : http://www.telerama.fr/radio/enquete-sur-les-algues-vertes-aux-sources-d-un-tabou-breton%2C145520.php?utm_campaign=Echobox&utm_medium=Social&utm_source=Facebook#link_time=1470990535